En tant qu'ingénieur, mon intérêt se porte sur l'optimisation des processus. C'est exactement ce qui s'est passé lors de la première rotation du programme.

Avant d'arriver, Alejandro ne connaissait de la Belgique que la bière et les frites. Six mois plus tard, il en a appris beaucoup plus. "La courbe d'apprentissage a été démentielle." Une histoire sur la découverte du monde et de la banque en tant qu'ingénieur industriel.

Comment avez-vous atterri chez ING ?

J'ai pas mal bougé dans ma vie. J'ai vécu en Europe, en Amérique du Sud et aux États-Unis. J'ai étudié l'ingénierie industrielle en Espagne. J'ai obtenu un diplôme de maîtrise en gestion et innovation en Suède. Et j'étais prêt à partir au Japon pour participer à un programme d'échange quand la pandémie s'est déclarée. L'Asie n'était donc plus une option.

C'est alors qu'un ami turc m'a parlé de l'International Talent Program d'ING. L'idée de travailler dans une entreprise internationale et rencontrer des gens du monde entier m'a vraiment séduit. J'ai postulé pour la filière "Operations & Change" et je suis venu en Belgique.

Quel est le lien entre l'ingénierie industrielle et la banque ?

Je ne connaissais rien à la banque. Mais en tant qu'ingénieur, mon intérêt se porte sur l'optimisation des processus et le gain en efficacité. C'est exactement ce qui s'est passé lors de la première rotation du programme. La digitalisation du parcours client, l'amélioration du ciblage des campagnes en fonction du comportement du client, etc.

Ma prochaine rotation va m'orienter vers la transformation, ce qui me rapprochera de la banque. Route 24 est le nom interne de la stratégie de la banque pour les prochaines années. J'imagine donc que je vais en apprendre davantage sur le secteur bancaire.

Comment s'est déroulé l'apprentissage jusqu'à présent ?

La courbe d'apprentissage a été démentielle. Au cours des deux premières semaines, j'avoue avoir été un peu perdu. Je ne comprenais pas ce sur quoi tout le monde travaillait. Mais j'ai trouvé ma voie. Dès que vous êtes en possession de plus d'éléments d'information, vos connaissances augmentent progressivement. Cette sensation est très satisfaisante.

Changer d'emploi après plusieurs mois peut se révéler difficile mais intéressant. Quitter ce que l'on vient à peine de maîtriser et devoir tout recommencer procure un sentiment de frustration. Mais comme vous l'avez déjà fait, vous savez que vous y parviendrez à nouveau.

Quel est votre plus gros coup de cœur ?

J'ai été assez surpris de voir que tout ce qui se dit sur la culture ING et les collaborateurs ING est vrai. Les gens sont extrêmement sympathiques et aimables. Il suffit de demander et les gens se feront un plaisir de vous dire ce que vous voulez savoir. Le travail en réseau est un mode de vie par ici.

Et ici, nous sommes immergés dans un environnement multiculturel. Belges, Espagnols, Suisses, Indiens, etc. Avant de déménager à Bruxelles, je ne connaissais de la Belgique que la bière et les frites. Mais j'aime la ville. J'aime rencontrer de nouvelles personnes, parler à des inconnus.

Qu'est-ce qui vous tarde de faire ?

J'ai vraiment hâte de faire d'autres rotations. En deuxième année, il y a de fortes chances qu'on vous confie une mission en dehors de votre périmètre d'action. Ou même qu'on vous demande de vous installer à l'étranger. Après tout, j'espère toujours avoir l'occasion de vivre et de travailler en Asie. C'est une expérience de vie.

À propos de Alejandro

  • Il a étudié l'ingénierie industrielle en Espagne
  • Il a obtenu un diplôme de maîtrise en gestion et innovation en Suède
  • Il a rejoint l'International Talent Program chez ING Belgique
  • Il aime rencontrer de nouvelles personnes et parler à des inconnus à Bruxelles
  • Il organise des événements pour le réseau de stagiaires qui allient apprentissage et divertissement
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