Nous sommes confrontés aux mêmes défis que les entreprises de la Silicon Valley.

Rencontrer Matthieu, c’est comme rencontrer une rock star. Presque littéralement. Matthieu a en effet commencé comme musicien et a progressivement trouvé sa voie dans l’IT. Aujourd’hui, il se consacre entièrement au web, il aide les gens à se développer et il vise en permanence l’excellence. « Nous cherchons à atteindre le même niveau que les « big tech ». Et j’aime ça ! »

Quel est l’objectif principal de votre fonction ?

Tirer le meilleur des autres. Mon rôle, en tant que lead, est de donner aux membres de mon équipe les moyens de s’améliorer. Pas seulement pour le projet sur lequel ils travaillent au quotidien, mais aussi dans une optique à long terme.

Depuis mon arrivée chez ING il y a six ans, j’ai déjà exercé pas mal de fonctions. Parce que c’était mon ambition. Et personne ne m’a jamais mis des bâtons dans les roues. Bien au contraire. Ici, on vous ouvre les portes. Et c’est exactement comme cela que j’envisage mon rôle de lead. Je coache mes collaborateurs et je les aide à grandir.

Pourquoi aimez-vous travailler chez Tech ?

D’abord, pour la flexibilité. Avant, j’étais indépendant et ce qui me plaisait, c’était de pouvoir construire ma carrière comme bon me semble, faire mes propres choix. Et de définir mes propres objectifs. Bien sûr, nous visons tous le même objectif, mais pour y arriver, chacun décide de la manière dont il veut procéder. C’est ce que j’aime le plus ici.

Et aussi le fait que les gens autour de moi m’offrent la possibilité de travailler comme cela. Pas seulement les managers, mais toutes les personnes avec lesquelles je travaille. Vous pourriez penser qu’avec toute cette flexibilité laissée à l’individu, on arrive à rien. Mais ce n’est pas du tout le cas.

La technologie est-elle uniquement réservée aux geeks et aux nerds ?

Uniquement ? Non. Mais nous avons quelques-uns (rires)! J’aimerais d’ailleurs qu’on en ait plus. En fait, je me considère un peu aussi comme un geek. L’écriture du code est une forme d’art pour moi. Dans le secteur bancaire, la technologie ne se résume pas à de la technologie pure. Beaucoup d’autres domaines doivent également être pris en compte. Comme le risque et la sécurité, par exemple.

Il y a tellement de fonctions différentes dans l’IT. Vous avez des ingénieurs, avec des objectifs et des rôles différents. Certains travaillent sur ce qui est visible et d’autres sur ce qui se passe derrière. Certains travaillent sur l’application mobile, d’autres sur notre site Web. Vous avez les équipes de networking, les équipes infra, les équipes financières… Et la liste est encore longue. Tout le monde fait un travail différent, mais ensemble, nous sommes Tech.

Donc, pas besoin de travailler pour une entreprise technologique pour réaliser de grandes choses ?

C’est ce que j’aime chez ING. Nous cherchons à atteindre le même niveau que les «big tech». Avant, j’étais très attiré par la Silicon Valley, mais chez ING, nous sommes confrontés aux mêmes défis et nous avons le même niveau d’attente sur le plan de la technologie.

Nous n'utilisons pas seulement les derniers logiciels en date. Je travaille personnellement sur le front-end et nous utilisons ici les standards en matière de plateforme web. Cela signifie que nous travaillons avec les navigateurs, et pas contre eux, et donc que les compétences, le code et les connaissances restent pertinents pendant longtemps. Vous n’avez pas à vous soucier de migrer chaque année dans de nouveaux frameworks, par exemple.

La technologie consiste-t-elle uniquement à créer de nouvelles fonctionnalités ?

Non, elle vise aussi à mettre le client au centre de tout. Notre mission est de répondre aux questions et de résoudre les problèmes de nos clients. Et, avec la technologie, vous pouvez réellement faire la différence. Tout ce que nous créons doit permettre de résoudre un problème ou répondre à un besoin. Nous devons donc avant tout bien comprendre ce dont le client a besoin.

La technologie est-elle un monde d’hommes ?

Non, pas du tout. Dans mon équipe, par exemple, il y a plus de femmes que d’hommes. Peu m’importe que vous soyez un homme ou une femme ou de l’endroit d’où vous venez. Tant que vous convenez pour le job et que vous avez le bon état d’esprit. Je suis vraiment persuadé que la diversité est une force, pas une faiblesse.

Comment décririez-vous la culture d'entreprise chez ING ?

Nous sommes un ensemble de familles, avec des équipes de plus petite taille formant les squads. Nous avons des bases communes, mais chaque squad possède sa propre façon de travailler et sa propre dynamique. Et tout le monde s’intègre parfaitement dans ce qu’ING considère comme sa culture d’entreprise.

Par exemple, nous avons tous les moyens de réaliser des choses. Nous croyons en la possibilité de nous développer. L’objectif n’est pas seulement d’obtenir des résultats sur le court terme. Nos yeux sont également tournés vers le futur. Nous construisons des carrières, pas seulement des produits. Et bien sûr, nous aimons aussi faire la fête (rires). Cela aide également à resserrer les liens.

Il est donc possible de s’amuser au travail ?

C'est certain. Et pas seulement lors des fêtes et du verre du vendredi soir. Nous organisons toutes sortes d’activités, comme le hackathon qui a eu lieu récemment. Quatre jours au cours desquels des personnes ont échangé des idées innovantes. Nous avons également le CX Day, une journée au cours de laquelle nous mettons le client au centre et où nous créons et effectuons des améliorations à partir des fonctionnalités existantes. C’est amusant parce que cela change de notre travail de tous les jours. C’est comme une compétition, avec des jeux autour. Il y a même une compétition de Microsoft Paint (rires).

Les 3 raisons pour lesquelles Matthieu a rejoint Tech chez ING

  • Pour développer ma carrière et construire l’avenir
  • Pour viser l’excellence en technologie
  • Pour avoir un impact sur des millions de personnes.
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