Une banque sans frontières avec les composants Web

ING a pour objectif d’unir les banques dans la quarantaine de pays où le Groupe est présent, afin d’offrir une expérience unique et de qualité à ses clients partout dans le monde. Pour ce faire, nous développons actuellement une plateforme bancaire européenne de pointe.

La technologie fait partie des domaines dans lesquels la Belgique et les Pays-Bas travaillent en étroite collaboration. Les équipes technologiques transfrontalières d’ING sont en train de mettre en place une plateforme bancaire intégrée pour servir 11 millions de clients particuliers et 17 millions de prospects dans les deux pays. Une étape importante va être franchie : tous nos clients particuliers en Belgique et aux Pays-Bas auront accès aux mêmes canaux numériques et bénéficieront donc de l’expérience « One ING ».

Une banque unifiée dans le monde

Nos ambitions ne s’arrêtent pas là. Les prochaines étapes consisteront à proposer OneApp et OneWeb à tous nos clients particuliers aux Pays-Bas et en Belgique, à lancer une plateforme commune de canaux assistés et à harmoniser tous les produits bancaires entre les deux pays. À long terme, l’objectif d’ING est de devenir une banque unifiée, qui travaille de la même manière dans les 40 pays où elle est présente et qui utilise les mêmes solutions informatiques dans le monde entier.

Standardisation du développement front-end

Nous avons déjà fait un premier pas pour atteindre cet objectif en choisissant de travailler avec les composants Web. Les composants Web sont des API de plateforme Web permettant aux développeurs de créer des balises HTML encapsulées, personnalisées et réutilisables pour les pages et applications Web. Dans ce webinaire disponible via Tweakers.com (le plus grand site Web technologique aux Pays-Bas et en Belgique), le chef de projet technique Bob Bijvoet et le développeur front-end Lars den Bakker expliquent comment ils utilisent les composants Web dans le développement front-end chez ING et comment ceux-ci sont mis en œuvre dans d’autres pays. Nous visons à déployer les composants Web dans les 40 pays où nous sommes présents.

Tout a commencé en Australie

À propos de collaboration internationale, c’est ING Australie qui a commencé à utiliser les composants Web. Les résultats de nos collègues australiens ont convaincu nos ingénieurs informatiques néerlandais, qui ont à leur tour adopté cette solution il y a quelques années alors qu’elle était encore émergente. Depuis lors, les composants Web se sont rapidement répandus et sont devenus la norme pour tout navigateur.

Contribution interne et externe à ING

Bien que les équipes de développement transfrontalières travaillent principalement au service des clients néerlandais et belges, elles partagent également leur code à l’échelle internationale au sein d’ING. Les équipes de développement des 40 pays s’efforcent d’échanger sur l’architecture, de partager le code et de standardiser leurs méthodes de travail. Toutes les équipes peuvent enrichir et utiliser la bibliothèque de composants Web – dans le respect des lignes directrices de conception et feuilles de style du Groupe – ainsi que les éléments d’expérience utilisateur (UX) standardisés à l’échelle de l’entreprise. Les tiers sont également invités à apporter leur contribution, la bibliothèque de composants Web d’ING étant partiellement en open source et disponible sur la plateforme de développement logiciel GitHub.

Satisfaire nos clients

Alors qu’une seule équipe travaillait sur les composants Web il y a quelques années, une communauté de 40 équipes pluridisciplinaires – développeurs front-end et back-end, spécialistes UX, analystes de données et utilisateurs métier – les utilise aujourd’hui au sein d’ING. Adoptant une approche agile, les équipes sont responsables de bout en bout du cycle de vie complet d’une fonctionnalité. Elles collaborent à la mise en œuvre des composants Web à l’échelle internationale, avec des solutions standardisées à travers le monde. Objectif ? Satisfaire et fidéliser nos clients partout dans le monde.

Regardez l’intégralité du webinaire sur Vimeo

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