Si nous voyons que quelque chose doit être amélioré, nous l’améliorons.

Lorsqu’elle s’est lancée dans des études d’ingénierie commerciale, Jolien était loin d’imaginer qu’elle finirait dans l’informatique ou la sécurité de l’information. Mais les choses peuvent changer. “Je suis tombée dans l’IT par hasard, en décrochant un premier emploi dans ce secteur. Et j’ai tellement aimé ça que je n’en suis jamais repartie.”

Comment avez-vous atterri dans la sécurité de l’information ?

À première vue, ce que je fais aujourd’hui semble très éloigné de mes études d’ingénieure commerciale. J’ai toujours pensé que j’optimiserais des processus dans des chaînes d’approvisionnement. Mais ma première expérience professionnelle en tant que consultante IT m’a poussée dans une autre direction. Pourtant, il y a des points communs.

Parce que mon travail actuel consiste tout de même à améliorer des processus. Pas dans la logistique, mais dans la sécurité de l’information. Pour les rendre plus conviviaux, par exemple. Pour aider les utilisateurs à exploiter les systèmes correctement et en toute sécurité.

Qu’est-ce qui rend ce travail intéressant à vos yeux ?

La diversité. Notre équipe se compose de huit experts, et chacun a son propre domaine de compétence et sa propre spécialité. Mais nos univers se croisent sans cesse. Et quand on tombe avec les bonnes personnes, on ne s’ennuie jamais.

Il faut aussi être constamment vigilant et suivre l’actualité. Prenez par exemple les cybermenaces lors de conflits tels que celui qui oppose la Russie à l’Ukraine. Quelles sont les conséquences pour nous ? Comment nous protéger ?

N’y a-t-il pas d’accords mondiaux ?

Si. L’équipe Global Security s’occupe de mettre en place des politiques sur la base desquelles nous pouvons ensuite travailler de manière très autonome. Si nous voyons que quelque chose doit être amélioré, nous l’améliorons. Nous définissons les priorités. We take it on and make it happen.

Nous travaillons également en étroite collaboration avec les équipes étrangères. Je connais au moins 80 % des collègues de la sécurité de l’information. Depuis que nous travaillons tous davantage à domicile, cette connexion s’est même améliorée. Ce ne sont plus des équipes qu’on a au bout du fil, mais des individus.

Les discussions à la machine à café ne vous manquent pas ?

Pas trop. Si je veux prendre un café et discuter, je le fais avec mon compagnon à la maison. Il travaille lui aussi dans le secteur. En tant que mère de trois enfants, je trouve le travail hybride très intéressant. Le temps que je passerais autrement à faire la navette entre Gand et Bruxelles, je peux à présent le consacrer à ma famille. Ou à moi-même.

Il y a tellement de choses qui me retiennent ici. Les changements, les dernières tendances que nous suivons de près, les possibilités d’évolution. Et puis toutes ces cultures différentes, chacune avec sa propre façon de travailler. Sans oublier cette liberté que nous avons en tant qu’équipe et en tant que personnes de faire notre travail comme nous l’entendons.

Y a-t-il quelque chose que vous changeriez ?

Non, rien. Quoique. Il pourrait y avoir plus de femmes dans l’équipe. Nous sommes tout à fait ouverts à cette idée, mais il semblerait qu’elles aient du mal à nous trouver. En parlant de cela… Notre Global Chief Information Security Officer est une femme. Cela pourrait peut-être inciter d’autres femmes à nous rejoindre.

À propos de Jolien

  • Études d’ingénierie commerciale
  • A rejoint ING en 2017 en tant que consultante externe
  • Fait partie du personnel permanent d’ING depuis 2021
  • Travaille aujourd’hui en tant qu’experte en gouvernance de la sécurité de l’information
  • Aime la cuisine, les podcasts, les sorties en famille et le Bootcamp.
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