En Jordanie, la représentation des hommes et des femmes dans le secteur IT atteint presque le parfait équilibre

Comment avez-vous atterri chez ING Belgique ?

Mon mari et moi avons déménagé en Belgique il y a environ six ans. Il a reçu une offre d'emploi intéressante ici et, grâce à mon expérience dans l’IT, je savais que je trouverais un emploi assez facilement. La première entreprise pour laquelle j'ai travaillé était agréable, mais les trajets domicile-travail étaient trop longs et l'environnement n'était pas assez international.

Je voulais trouver un endroit où m'intégrer, développer mes connaissances et me bâtir une belle carrière. De préférence dans un environnement international. Aussi, lorsque l'agence de recrutement m'a parlé de cette offre d’emploi chez ING, je me suis montrée très enthousiaste. J'étais certaine de trouver tout ce que je recherchais ici. Et ce fut effectivement le cas.

Donc, vous avez déposé votre candidature et obtenu le poste ?

Pas exactement. Ils recherchaient un Chapter Lead, mais je n'avais aucune expérience en matière de gestion. Ils m'ont tout de même conviée à un entretien. Ils ont cerné ce que je pouvais leur apporter et m'ont proposé le poste de Network Engineer. Il s’agit d’une fonction plus technique qui correspondait tout à fait à mon expérience.

J'ai pu travailler sur des pare-feu et j'ai vraiment appris beaucoup de choses. Mais après un an, j'ai voulu explorer de nouveaux horizons, comme la gestion de patrimoines, de projets ou d’effectifs. J'ai parlé à mon Chapter Lead des possibilités offertes par l'entreprise. Il s’est montré très ouvert à cette idée et nous avons déterminé ensemble la voie à suivre pour y parvenir. 

Et ce fut un grand changement pour vous ?

En effet. Aujourd'hui, je suis Product Owner dans notre département. Ça implique que je suis responsable de la gestion de nos patrimoines, de la fixation des priorités, de la détermination des tâches du backlog et de la surveillance de la conformité et de toutes les implications. C'est moins technique et ça requiert un ensemble différent de compétences. Au début, j’ai donc dû quitter ma zone de confort.

Mais j'ai reçu beaucoup de soutien de la part de mon manager. J'en ai appris davantage sur les risques et la conformité, les processus, les interactions et les relations avec les autres équipes. Savoir comment ING fonctionne vous permet d’avoir une vue d'ensemble et d’âtre plus performante dans votre travail. Et sur le plan personnel, je suis devenue bien meilleure en matière de planification. Je n’avais jamais été aussi organisée.

Qu'est-ce qui rend le travail chez ING aussi intéressant ?

J'apprécie la liberté que m’offre mon travail et les différentes technologies qui sont mises à ma disposition. Qui plus est, les personnes qui m’entourent sont d’un grand soutien, sont dotées de l’esprit pratique et font preuve d’un grand discernement. Et comme tout le monde parle anglais, c’est facile de se connecter et de s'intégrer. C'est important, car nous avons tous besoin les uns des autres pour créer de l’impact.

Ce que j'aime le plus, c'est que chez ING, tout est question d'intérêts et d'opportunités. Quand une opportunité qui correspondait à mes intérêts s’est présentée à moi, j'étais enceinte. Je craignais que ça ne soit un obstacle et que je doive attendre une autre opportunité. Mais ce ne fut pas un problème, ils ont trouvé une solution. Et nous avons continué ensemble.

En quoi un poste dans l'IT en Jordanie est-il différent d’un même poste en Belgique ?

Les codes sont universels, donc identiques partout. Mais en Jordanie, la représentation des hommes et des femmes dans le secteur IT atteint presque le parfait équilibre. Je ne sais pas pourquoi il n’y a pas plus de femmes qui étudient l'IT ici. Elles devraient être plus nombreuses et je le recommande vivement. Quoi qu'il en soit, je suis fière de faire partie de ce groupe de femmes et d'hommes talentueux.