Carte blanche pour faire votre travail. Même dans le domaine du risque.

Voici Anna. Née en Ukraine, amoureuse de Bruxelles. Une data experte au cœur de la banque, chez Risk. « Nous avons une mission et c’est celle de rendre le risque à nouveau sexy. » Cela paraît ambitieux. Comme nous l'aimons. Voyons si elle peut vous convaincre.

Quel est l'objectif principal de votre fonction ?

Je suis team lead pour data engineering, qui se concentre sur l’implémentation des modèles réglementaires. En bref, c’est assurer la sécurité de la banque, pour les clients et pour nous-mêmes. Je travaille dans les crédits. Nous développons et utilisons des modèles de données sophistiqués qui nous aident à calculer le montant que nous pouvons accorder à une personne qui a besoin d'un prêt. Et mesurer aussi ce que seraient les conséquences si cette personne ne respecte pas sa part du contrat. C'est ce que l'on appelle l'appréciation du risque.

Mais nous contrôlons également la qualité de l'ensemble de notre portefeuille de clients. Nous analysons les données de tous nos clients pour voir comment ils se comportent et ce que fait le marché. Toutes ces informations combinées nous aident à déterminer le nombre de prêts que nous pouvons accorder. Ce qui, in fine, nous aide à faire tourner l’entreprise.

Pourquoi aimez-vous travailler chez Risk ?

Pour de nombreuses raisons. Mais la plus importante est que j'ai toujours eu carte blanche pour faire mon travail de la manière la plus efficace à mes yeux. Nous jouissons d'une grande liberté pour mettre en place de nouvelles choses et prendre des décisions. Naturellement, nous devons aussi respecter de nombreuses réglementations. Mais, chaque jour, vous voyez le fruit de votre travail. Vous voyez comment fonctionne toute cette machinerie. C'est très gratifiant.

Les grandes banques ont souvent la réputation d'être ennuyeuses et véhiculent souvent une image poussiéreuse. Ce n'est pas le cas d'ING. Nous partageons cet esprit de start-up. Surtout dans notre manière de collaborer. Nous avons à cœur de faire avancer les projets, d'expérimenter de nouvelles technologies. De plus, nous n'avons pas peur d'embaucher des personnes qui ne possèdent aucune expérience dans le domaine financier. La majorité des membres de mon équipe viennent d’ailleurs des secteurs de la science et de la technologie.

Le risque joue donc un rôle important ?

C'est certain. L’idée n’est pas de s'enfermer dans une zone de sécurité. Le risque, c'est savoir ce que l'on fait et être conscient des conséquences si on le prend. Comme l'alpinisme. Grimper à 5000 mètres d'altitude est possible, à condition de connaître les risques. Alors oui, je pense que cette matière est très importante.

Ce qui est également formidable, c'est que nous accueillons toujours de nouvelles personnes avec de nouvelles idées. Nous sommes un grand département très diversifié, qui touche à tous les aspects de la banque. Avec un grand nombre de fonctions et de profils différents. Certains spécialisés dans les réglementations, d’autres dans la recherche et d'autres encore plus axés sur la technologie.

Quid du risque et des règles ?

Dans notre domaine d'activité, il y a effectivement des lignes à ne pas franchir. Cela ne se discute pas. Tout le monde veut être sûr que sa banque ne traite pas avec des clients malveillants, par exemple. Le risque, c'est d'être prêt à aller où l'on veut. Et savoir jusqu'où l'on veut aller.

Nos comportements orange sont fondés sur l'ouverture et le sentiment d'appropriation. Et ce ne sont pas seulement des mots. Cela se vérifie dans la réalité. Par exemple, nous n'attendons pas que la direction vienne nous dire ce qu'il faut faire. Si des changements s'imposent, ils viendront de nous. Et nous nous aiderons mutuellement.

Quid du travail et des règles ?

En ce qui concerne le travail, nous jouissons d’une grande liberté. Nous pouvons travailler à domicile la moitié du temps. Comme bon nous semble. Parfois, il faut être créatif et discuter autour de la machine à café. Parfois, vous devez vous mettre dans votre bulle pour pouvoir vous concentrer. Et s’accorder un petit jogging pendant la pause de midi. Tout est possible.

Nous travaillons dans la production et donc généralement de 9h à 17h. Mais c'est comme cela que vivent la plupart des gens. Cela me laisse encore du temps pour écrire, rénover ma maison et faire du bénévolat. Si vous voulez vraiment faire quelque chose, vous trouverez toujours du temps. Et mon rythme de travail me le permet.

Est-il vrai que les banques ne s'intéressent qu'à l'argent ?

Les banques doivent faire des bénéfices et alimenter l'économie. C'est notre raison d'être. La réflexion sur notre manière de devenir plus durables est largement guidée par les réglementations. Mais dans un même temps, la prise de conscience écologique et sociale est plus forte que par le passé. C'est ainsi que la société évolue et nous voulons donner l'exemple.

Nous travaillons avec des gens provenant de tous les continents. Et chacun apporte sa propre touche. Je trouve cela très stimulant. Cela rend l’environnement de travail particulièrement agréable. Nous essayons aussi de nous voir en dehors du bureau. Mieux se connaître permet en effet de mieux travailler ensemble.

Avez-vous évolué dans votre carrière ?

J'ai commencé chez ING en tant que modélisateur il y a cinq ans et après un an et demi, j'ai eu la possibilité de prendre la tête d’une équipe. Personne n'essaie de vous faire sortir de votre zone de confort. Si vous voulez être un expert et vous développer dans votre domaine, parfait! Mais si voulez passer d'un projet à l'autre et faire à chaque fois quelque chose de différent, pas de problème non plus!

Nous disposons d'un outil de matching qui vous permet de découvrir nos fonctions et nos équipes. Vous pouvez y introduire vos compétences et vos ambitions et il vous indiquera les possibilités qui s'offrent à vous au sein de l'organisation. Il s'agit en quelque sorte d'un outil de rencontre pour les personnes à la recherche d'une nouvelle opportunité. Et vous avez aussi la possibilité de faire un essai. Vous avez beau être intéressée, vous ne savez pas toujours comment cela se passe vraiment dans la réalité.

Les 3 raisons pour lesquelles Anna a rejoint Risk chez ING

  • Vous n’avez pas besoin d’un background financier. Cela permet d’ouvrir de nouvelles perspectives pour la banque
  • Vous pouvez essayer de nouvelles choses comme dans une start-up, tout en restant dans une entreprise stable et bien structurée
  • Vous travaillez dans un environnement multiculturel. Vous voyagez sans partir trop loin de chez vous.
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